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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 09:43

 

Flic-floc, tombe la pluie

presque sans un bruit

flic-flac, s'étend la bell' flaque.

 

 


 

@Chatdunet2011

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18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 12:18

Peut-on accepter que des certains meurent de faim et de froid, dans la rue... alors qu'ils sont français, s'appellent Marc ou Sophie, ont tout fait pour s'en sortir... et quand à l'inverse la soit-disant crise est annoncée comme passée mais que les salaires stagnent, les droits non respectés ? ...

 

 

NON

 

Je m'associe donc à l'appel des restos du coeur - pour un article publié ce sont 10 repas servis, promis par Danone & Carrefour.

 

L'an passé cette action relayée sur le net a permis plus de 16000 repas...

- vous pouvez trouver les logos sur le blog "chafin.over-blog.com" par exemple

 


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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 10:08

On ne le répétera jamais assez... c'est dès la 2nde que le bac de français se prépare, non seulement en lisant les oeuvres imposées, optant pour une bonne méthodologie mais aussi en se cultivant par la lecture personnelle ou des activités culturelles (théâtre, danse, cinéma...).

 

Je vous propose cette sélection... pour la semaine :.

16ème siècle -  Rabelais, Ronsard


17ème siècle -
 

  théâtre : Racine, Corneille, Molière 

   littérature : Mme De Sévigné


18ème siècle - théâtre : Beaumarchais, Marivaux


19ème siècle - Maupassant, Balzac ou Zola


20ème siècle -

  poésie : Apollinaire, Paul Valéry, Michaux

  littérature : MProust, Gide, Sartre et tous les contemporains

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 11:47

En cette journée de Saint-Valentin je vous propose ce petit livre, édité aux éditions Café Voltaire...

 


 

L'amour est à réinventer, on le sait.


 

Arthur Rimbaud, Une saison en enfer, Délires I

 


 

 

L'auteur, philosophe, nous fait part de ses réflexions sur l'Amour. Il s'agit, tout au long de l'ouvrage, d'un dialogue entre le questionneur avisé qu'est Nicolas Truong, philosophe lui aussi, et Alain Badiou.

 

 

 

 

Le plan du livre

 

I Amour menacé

II Les philosophes et l'amour

III La construction amoureuse

IV Vérité de l'amour

V Amour et politique

VI Amour et Art

 

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12 février 2011 6 12 /02 /février /2011 11:16

 

 

coupdecoeur.jpg

Il est-il d'amour sans souffrance ?

 

Vaste question à se poser à l'aube de la Saint-Valentin... Pierre de Marbeuf, poète français du 17ième siècle, nous livre son ressenti sur le sentiment amoureux qui peut nous transporter, autant vers le bonheur que le doute ou la désespérance.


 


      Et la mer...


Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.

Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.

Pierre de Marbeuf,  

Recueil des vers, publié à Rouen en 1628



Elève du collège de La Flèche où il a été le condisciple de Descartes, le chevalier Pierre de Marbeuf, juriste de formation, exercera la fonction de maître des eaux et forêts comme Jean de La Fontaine. . .        Auteur de sonnets baroques, il met en œuvre les thèmes de la nature, de la fragilité de la vie et de l'amour. Connu tardivement, il est apprécié non seulement pour ses qualités de poète, mais aussi pour ses talents satiriques.
 
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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 17:17

 

  Un livre médiatisé, toujours en tête des ventes... et fort plaisant !

 

Passionné d'Histoire et de Paris,  Laurent Deutsch nous fait voyager à travers les siècles, d'une sortie de métro à l'autre. Le style est vif et le livre se lit aisément.

 

On pourrait aussi se ballader avec ce livre à la main, comme avec un guide... Pour chaque sortie de métro un encart historique.

 

 

 

extrait / Place d'Italie - l'encart


 

Où peut-on voir les thermes anciens ?

 

La cave voutée du restaurant Le Coupe-Chou est un vestige émouvant de ces thermes du II° siècle, la plus vieille cave de Paris ! Au cours de travaux on y a découvert de précieux témoignages : notamment, des conduites d'eau chaude et une piscine gallo-romaine.

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 16:45

 

 

 

boulesb

 

Ils fermèrent les yeux et s'évadèrent en un pays merveilleux...

la Noctalie.

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 19:15

coupdecoeur.jpg Passionné par l'Asie, l'auteur livre ici un récit intime et empreint de nostalgie.

 

 

 

Qui est ce garçon asiatique surnommé Bouk et qui, le dimanche à la maison Boissier, apparaît comme par enchantement dans cette paisible famille française ? Un prince déchu, un parent caché ou, tout simplement, un orphelin arraché au Cambodge en guerre ? Ses frêres adoptifs l'observent avec un sentiment tissé de fascination, de trouble et de crainte;  Bouk sait entretenir son mystère ...

 

Enfin, le garçon disparaît brusquement et, selon la légende, s’en retourne à Angkor pour se cacher.


Des années plus tard, au terme d’une crise personnelle, le narrateur part à sa recherche, en France et au Cambodge...

 

 

L'auteur

 

Journaliste à Géo il a écrit de nombreux romans.

 

 

Je suis dans les mers du sud, prix 2 magots 2002

 


- Mardi à Puerto-Azucar (Editions des Equateurs, 2005)
- Rien de neuf à fort Bongo (Casterman, 2004 - avec Loustal)
- La consolation des voyages (Grasset, Paris, 2004)
- Jolie mer de Chine (Castermann, 2002 - avec Loustal)
- Je suis dans les mers du Sud (Grasset, Paris, 2001 - Prix des Deux-Magots)
- Zone tropicale (Le Dilettante, 1999)
- Suite indochinoise (Kailash, 1998 ; Le Dilettante, 1999)
- Le Fils du Fakir (Grasset, Paris, 1998)
- Les Beaux Horizons : voyages (Le Dilettante, 1998)
- Fièvre jaune (Le Dilettante, 1998)
- Concession 126 (Editions du Rocher, 1996)
- Mission au Paraguay (Grasset, Paris, 1996)
- Tout est factice (Grasset, Paris, 1995)
- Villa Zaouche (Grasset, Paris, 1994)
- Affaires indigènes (Flammarion, Paris, 1992)
- Petite Papouasie (Robert Laffont, Paris, 1992)
- Triste sire (Le Dilettante, 1992)
- Capitaine (Flammarion, Paris, 1991)

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 08:28

Françoise Sagan, une figure de la littérature, qui connut la gloire et fit scandale avec Bonjour tristesse en 1954.

 

 

  Profil perdu

 

Mais ne suffit-il pas que tu sois l'apparence

Pour réjouir un coeur qui fuit la vérité ?

 

 Charles Baudelaire

 

 

Ainsi commence ce roman... Le ton est donné - un roman d'amour et une description parfaite du confort de la mausaise foi.

 

Synopsis : Josée, mariée à un Alan, un jaloux mortel ne peut plus le supporter. Ils se rendent pour la dernière fois à un dîner ensemble, offrant à leurs amis l'image du couple parfait. C'est là que Josée rencontre Julius, milliardaire, à la fois respecté et craint, sans d'autre attrait, semble-t-il, que son argent. Julius se prend d'affection pour Josée et décide de l'aider : se succèdent invitations en salons de thé, aides pour qu'elle trouve un studio, poste dans une revue. Mais cette apparente générosité est-elle gratuite ?

 

L'auteure

 

Quelques romans...

 

La femme fardée, Stock 2011

 

Un chagrin de passage, Plon 1994

 

Et toute ma sympathie, Julliard 1993

 

Aimez-vous Brahms ? Julliard 1959

 

Recueils de nouvelles...

 

Musiques de scènes, Stock 2011

 

Des yeux de soie, Stock 2009

 

 

Au théâtre...

 

Un  piano dans l'herbe , Stock 2010

 

Les violons parfois, Julliard 1961

 

L'écharde, Julliard 1966

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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 15:43

 

                                          .             .                 .                         .                             .

 

 

 

Les taiseux raconte une vie passée à chercher un père. Nourri par un style très sûr et une réflexion profonde et poignante sur le secret et les origines, il s'agit certainement du texte le plus personnel écrit par Jean-Louis Ezine.

 


" Pour commencer, lui avait un père, tandis que moi, je n'ai eu que le manque. Tout, depuis toujours, a gravité autour de ce trou noir. "


Cet auteur a publié à la fois des portraits, romans ou chroniques. Citons,

 

 Les écrivains sur la selette, Seuil 1981

 Entre nous soit dit - entretiens avec P. Dijan - Plon 1997

 

 

  ... le silence, les mots, les soupirs... une belle musicalité du texte...

 

 

" Chez nous quand ca se tait il faut avoir l'oreille fine pour distinguer la pudeur et l'indifférence."

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